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de l'autre côté de la membrane Derniers épisodes avant le naufrage (11'18) |
Propos : évocation d'un bateau ivre, de l'intérieur ; architecture instable constituée de sons plus ou moins reconnaissables provenant d'intruments de musique. Histoire : les sons-séquences font partie d'une série plus vaste qui a été plus ou moins réalisée et même partiellement diffusée sous différentes formes et titres (Une nuit au conservatoire, Le petit cirque des instruments perdus, Concerto, Concertinino-théâtre). Origine des sons : clarinette, accordéon, cithare, saxophone, piano, joués personnellement ou "empruntés" (tous sont seulement stéréophoniques) + enregistrements d'improvisations musicales et d'ambiances lors de plusieurs éditions du festival "Un mammouth sous le gravier" à St Maurice de Rotherens. Déroulement : Compatibilités : mouvance et relief sont les attriburs principaux de cette pièce qui nécessite absolumnt un dispositif haut-parlant multi-couches. Elle devrait donc pouvoir être diffusée sur des acousmoniums un peu importants mais par sur des dômes. |
Ci-dessous le projet Reaper de la première version (été 2022) : en plus des séquences multiphoniques 42 canaux issues de précédents travaux sur des pièces antérieures, on peut trouver quelques sons stéréo avec automation de la spatialisation (Spat3D ou SpatLayers). Beaucoup de séquences multiphoniques sont également transformées spatialement (SpaceRotator, HeightShifter, SpaceMorph) de manière à les resituer dans l'espace global ou à leur apporter une mouvance supplémentaire. |
2023 a vu l'élaboration de nouveaux
montages sur 80 canaux, avec remplacement des anciennes versions
de plugins par de nouvelles supportant ce nombre de canaux. |
À la reprise au printemps 2024, je suis retourné chercher dans de vieux projets Reaper quelques montages plus élémentaires afin de retrouver une certaine "fraîcheur" des sons et des espaces que j'avais un peu perdu dans les dernières versions. L'allure globale de la pièce est similaire à cellers-ci mais le montage est totalement différent : la dimension séquentielle, par "épisodes", est cette fois-ci plus marquée tout en produisant des transitions moins précipitées. |
Le montage final sur le rendu 80 canaux a nécessité encore pas mal de travail, y compris, et ça c'est très rare pour moi, des changements de position ainsi que le mixage complet d'une section. Cela aurait été possible de les réaliser sur le montage multipiste mais c'était juste beaucoup plus simple de le faire ainsi. À noter aussi la variation de vitesse de la fin. |